Appel public et cri d’alarme de la famille de Jean Jacques Wondo

La presse audiovisuelle et les autorités politico-militaires ont récemment signalé une tentative de coup d’État par des assaillants visant des cibles critiques telles que la résidence de l’honorable Vital Kamerhe et le Palais de la Nation. Cependant, la détention de Jean Jacques Wondo par les services de renseignements militaires sur la base d’une photo datant de 2016 en Belgique suscite des inquiétudes et soulève des questions sur la légitimité de son arrestation.

Depuis son arrestation, Jean Jacques Wondo est détenu à la prison militaire de Kinshasa/Ndolo sans qu’aucun dossier répressif précis ne soit ouvert à sa charge, privant ainsi de manière arbitraire ses droits fondamentaux. Son expertise en faveur de l’émergence de la République démocratique du Congo a été reconnue et il a récemment été invité à contribuer à la réforme des services de renseignements civils.

La famille de Jean Jacques Wondo et ceux qui le soutiennent demandent sa libération immédiate et inconditionnelle, soulignant que sa détention va à l’encontre des valeurs républicaines et des intérêts du pays. Ils plaident pour un respect des droits de l’homme et de l’État de droit prônés par le chef de l’État.

Dans un contexte où la contribution de tout le capital humain du pays est nécessaire pour relever les défis actuels, la détention de Jean Jacques Wondo est perçue comme un message négatif adressé à la diaspora congolaise et comme un obstacle à la bonne gouvernance soutenue par les autorités.

Il est temps de réexaminer la situation de Jean Jacques Wondo et de garantir le respect de ses droits en tant que citoyen engagé pour l’émergence et le bien-être de la République démocratique du Congo.